Tableau Populaire
L’apprenti point trop maigrelet, quinze ans, pas beau,
Gentil dans sa rudesse un peu molle, la peau
Mate, œil vif et creux, sort de sa cotte bleue
Anthologie de la poésie d'amour
Poèmes d'amour francophones
L’apprenti point trop maigrelet, quinze ans, pas beau,
Gentil dans sa rudesse un peu molle, la peau
Mate, œil vif et creux, sort de sa cotte bleue
Boulangère jadis qui respiriez l’amour
Peloteuse de couilles
Vous souvient-il des années et des jours
Remplis par ma gidouille Continuer la lecture de « « La Boulangère » Guillaume Apollinaire »
Je cherche un petit bois touffu,
Que vous portez, Aminthe,
Qui couvre, s’il n’est pas tondu
Un gentil labyrinthe.
Tous les mois, on voit quelques fleurs
Colorer le rivage ;
Laissez-moi verser quelques pleurs
Dans ce joli bocage. Continuer la lecture de « « Polissonnerie » de Voltaire »
Obscur et froncé comme un œillet violet
Il respire, humblement tapi parmi la mousse
Humide encor d’amour qui suit la fuite douce
Des Fesses blanches jusqu’au cœur de son ourlet. Continuer la lecture de « « Sonnet du trou du cul » par Albert Mérat, Paul Verlaine et Arthur Rimbaud »
Trois libertins, dotés de verges scandaleuses,
Crachent leur foutre chaud dans tes fesses houleuses.
Ta bouche les ravive : elle aiguise leurs dards,
Et les fait se dresser comme des étendards. Continuer la lecture de « « Lady K*** » de Gilbert Lely »
Extrait
Dans nos ébats elle se montre active,
Forge cent tours, s’agite du Croupion,
Me fait goûter tous les plaisirs du Con.
Sur mon Coccyx apuyant ses deux jambes,
Etroitement sur son sein me pressant,
Tirant parti d’attitudes ingambes (1) Continuer la lecture de « « Chant Quatrième » de Gabriel Seinac de Meilhan »
Le clitoris en fleur, que jalousent les roses,
Aspire sous la robe, à l’invincible amant ;
Silence, vent du soir ! taisez-vous, cœurs moroses !
Un souffle a palpité sous le blanc vêtement.
Béatrix, Héloïse, Eve, Clorinde, Elvire,
Héroïnes d’amour, prêtresses de l’art pur,
Chercheuses d’infini, cachez-vous de l’azur ! Continuer la lecture de « « Le Clitoris » par Henri Cantel »
Léona l’entoura de ses jambes, baisa
Ses yeux, sa chevelure et sa langue vermeille.
La vierge, dont le cœur en souriant s’éveille,
A ces souffles de feu par degrés s’embrasa. Continuer la lecture de « « Volupté » par Henri Cantel »
Un vit sur la place Vendôme,
Gamahuché par l’aquilon, Continuer la lecture de « « Le Godemichet de la Gloire » de Théophile Gautier »
[singlepic id=124 w=320 h=240 float=right]Trou du cul de la Bien-Aimée
Te donnerai-je un nom de fleur
Lorsque ta matière embaumée
Se répand dans ma bouche en coeur
C’est toi, petit, que je préfère,
Mais j’aime aussi que ton voisin
Jute, jute comme un raisin
Afin que je me désaltère.
Ce sont là mes plus chers mignons,
Je leur donne ce qu’ils demandent
Des fruits fourrés et qu’ils me rendent
Tout imprégnés d’exhalaisons,
Gloire à ces deux trous brun et blond.