L’Alliance
Définitivement ils sont deux petits arbres Continuer la lecture de « « L'alliance » de Paul Éluard »
Anthologie de la poésie d'amour
Poèmes d'amour francophones
Définitivement ils sont deux petits arbres Continuer la lecture de « « L'alliance » de Paul Éluard »
Pauvre je ne peux pas vivre dans l’ignorance
Il me faut voir entendre et abuser
T’entendre nue et te voir nue
Pour abuser de tes caresses Continuer la lecture de « « Prête aux baisers résurrecteurs » de Paul Éluard »
[singlepic id=149 w=320 h=240 mode=web20 float=right]Surgis d’une seule eau
Comme une jeune fille seule
Au milieu de ses robes nues
Comme une jeune fille nue
Au milieu des mains qui la prient
Je te salue Continuer la lecture de « « Surgis » de Paul Éluard »
La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur,
Un rond de danse et de douceur,
Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,
Et si je ne sais plus tout ce que j’ai vécu
C’est que tes yeux ne m’ont pas toujours vu. Continuer la lecture de « « La courbe de tes yeux » de Paul Éluard »
La terre est bleue comme une orange
Jamais une erreur les mots ne mentent pas
Ils ne vous donnent plus à chanter
Au tour des baisers de s’entendre
Les fous et les amours Continuer la lecture de « « La terre est bleue » de Paul Éluard »
Extrait de Capitale de la Douleur
Ta voix, tes yeux, tes mains, tes lèvres.
Nos silences, nos paroles.
La lumière qui s’en va, la lumière qui revient.
Un seul sourire pour nous deux. Pas besoin de savoir.
J’ai vu la nuit créer le jour sans que nous changions d’apparence. Continuer la lecture de « « Ta voix, tes yeux, tes mains, tes lèvres… » de Paul Éluard »
J’ai eu longtemps un visage inutile, Continuer la lecture de « Poème de Paul Éluard »
À l’ombre des arbres
Comme au temps des miracles, Continuer la lecture de « « Entre Autres » de Paul Éluard »
Jours de lenteur, jours de pluie,
Jours de miroirs brisés et d’aiguilles perdues
Jours de paupières closes à l’horizon des mers,
D’heures toutes semblables, jours de captivité.
Mon esprit qui brillait encore sur les feuilles
Et les fleurs, mon esprit est nu comme l’amour,
L’aurore qu’il oublie lui fait baisser la tête
Et contempler son corps obéissant et vain. Continuer la lecture de « « Leurs yeux toujours purs » par Paul Éluard »
Je te l’ai dit pour les nuages
Je te l’ai dit pour l’arbre de la mer
Pour chaque vague pour les oiseaux dans les feuilles
Pour les cailloux du bruit Continuer la lecture de « « Je te l’ai dit » par Paul Éluard »