Jocelyn, le 20 septembre 1793.
Je ne sens plus le poids du temps ; le vol de l’heure
D’une aile égale et douce en s’écoulant m’effleure ;
Je voudrais chaque soir que le jour avancé
Fût encore au matin à peine commencé ;
Ou plutôt que le jour naisse ou meurt dans l’ombre, Continuer la lecture de « « Jocelyn, le 20 septembre 1793. » par Alphonse de Lamartine »