Sentiments incontrôlables, j’ai eu pour elle Je souhaitais être celui qui enflammerait son cœur Amour laisse-moi, glisser mes doigts dans ses cheveux Tu savais lire en moi comme dans un livre ouvert Belle, je la voyais tel un ange descendu du ciel Continuer la lecture de « « Un amour caché du passé » par Adrien Mickaël Pastor »
« On pleure les lèvres absentes de toutes ces belles passantes que l’on n’a pas su retenir. » Par laurent.breillat
La solitude, c’est un morceau de vie. C’est toi qui n’est plus là. C’est cet avion qui passe, que je ne prendrai pas. C’est le soleil qui brille, Quand il n’est pas pour moi. La solitude c’est quand je pense à toi, Quand tu ne penses plus à moi. C’est ce voilier qui file en ne m’embarquant pas. C’est la mer qui se retire Et qui me laisse là. Continuer la lecture de « « La Solitude » de Jean-Jacques Gauthier »
[singlepic id=110 w=320 h=240 mode=web20 float=right]Je profite de cette instant, Pour vous exprimer ce sentiment, La haine me déchire de l’intérieur, Est je sens au fin fond de mon cœur cette froideur.
Elle ne demande qu’a sortir pour s’exprimer, Mais je ne sais pas si je dois la libérer, Elle essaye de prendre le contrôle de mon esprit, Tout en m’exprimant ses envies.
Encore aujourd’hui elle est là, Elle à faim tel un piranha, Qui se sens prés à se jeter sur sa proie, Il ne faut pas croire que j’aime ça car en réalité je resse
Elle se rapproche encore plus chaque seconde, J’ai l’impression d’avoir en moi une vrai bombe, Il est trop tard elle à pris le contrôle de moi, Par pitié aider moi à retrouver la foi.
Je casse les règles Refus et mépris Tu doutes de toi Je te repousse La chute est proche Le sang va couler L’Amour va mourir !
Je voudrais Mais…
Je casse les codes Trahir et mentir Tu pleures pour deux Je te défie La fin s’invite La vie va s’éteindre L’Amour n’a jamais existé !
Je luttais Mais…
Pourquoi l’Amour Pour un jour ruiner deux êtres Quand les mains ne brûlent plus la peau Quand les regards s’évitent Quand je suis moi Quand je ne suis plus nous !
Les bras tendus Vers un avenir Qui ne t’appartient déjà plus Tu cours pour devenir Madame Quelqu’un Madame N’importe qui
Dans ta course à l’Amour Comme prise à tous les pièges Tu passes de mains en mains Te donnant corps et âme Jusqu’au petit matin Aux amants de passage Aux fiancés d’une heure D’un jour ou d’un week end
Il fait déjà nuit, une nuit d’août toute noire, Comme l’encre du stylo qui a écrit sa vie ; Ce n’est pas la joie, la pauvre, elle n’est qu’en survie. Au carreau de la fenêtre de sa chambre noire,
La tête appuyée contre la vitre, elle pleure ; Les larmes mouillent ses joues, brillent comme des diamants Coulent, à présent, le long des carreaux luisants ; Son amoureux, quel bonheur, à présent quel malheur
S’est tué pour le plaisir… faire de la moto ! Tout s’écroule autour d’elle, tant de projets rayés. Nuit étoilée, le destin a tout balayé. Le bonheur et le malheur c’est comme au loto !
Voilà, le jour vaporeux se lève à présent. La tête appuyée contre la vitre, elle pleure Toujours son cœur labouré se déchire. Et meurt L’amour que son amour lui avait fait présent.
Et, la vie, sans lui, ne sera plus comme avant ! Elle sera comme cette nuit d’août toute noire ; Le bonheur éternel n’est-il pas illusoire ? La mort n’est pas pour le monde des vivants !