Aline
Aline sommeillait. Un matin, Léona,
Voyant la blonde vierge en fleur et demi-nue,
Dans ses veines sentit sa force inconnue
Courir, comme la foudre éclatant sous la nue.
Sa folle passion soudain se déchaîna ;
Elle trembla, rougit, pâlit. Ivre et farouche,
Elle enlaça sa proie, et lui ferma la bouche
D’un baiser. Lors l’enfant se dressa sur sa couche ! Continuer la lecture de « « Aline » par Henri Cantel »