À M. de Siarit
Quand tous les jours mon coeur vieilli se désenchante,
Pourrais-je ne pas faire un sympathique accueil
A ce frère inconnu dont la pitié touchante
Vient verser de si loin du baume sur mon deuil ! Continuer la lecture de « « À M. de Siarit » de Louis-Honoré Fréchette »